Gustave Blåbær rated How to Do Nothing: 2 stars
How to Do Nothing by Jenny Odell
Nothing is harder to do these days than nothing. But in a world where our value is determined by our …
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Nothing is harder to do these days than nothing. But in a world where our value is determined by our …
Nothing is harder to do these days than nothing. But in a world where our value is determined by our …
It was OK. I have sympathy for the author and trust in their genuine and informed interest on the topic. I got lost and bored when too many art references were added. It often felt like polluting a bit the matter with quirky and irrelevant art parallels talking about pieces that are very niche aka that no one knows about, so hard to relate to. I wish the book was shorter and more straight to the point.
Asia has a long history of preparation and consumption of various types of ethnic fermented foods and alcoholic beverages based …
Perdre un homme, c'est vieillir d'un seul coup de plusieurs années, vieillir d'un seul coup de tout ce temps qui ne passait pas, quand il était là, et des années à venir, imaginées.
— Se perdre by Annie Ernaux
Je regarde les arbres, le soleil sur l'herbe (il est douze heures trente)), quelque chose glisse là, maintenant, d'insaisissable, et qui me fait passer de la présence possible d'hier à l'absence définitive de demain. Ce jour est la charnière du passé et de l'avenir. C'est comme la mort.
— Se perdre by Annie Ernaux
La phrase de Proust sur ces délais qu'imagine le soldat, vis-à-vis de la mort qui rôde, me revient en mémoire. L'espérance continuelle d'un nouveau délai alors que tout, un jour, doit finir, pour un homme.
— Se perdre by Annie Ernaux
Les mots qui se sont déposés sur le papier pour saisir des pensées, des sensations à un moment donné ont pour moi un caractère aussi irréversible que le temps : ils sont le temps lui-même.
— Se perdre by Annie Ernaux
Le prince Mychkine est un être fondamentalement bon, mais sa bonté confine à la naïveté et à l'idiotie, même s'il …
Au début des années 2020, le consensus de la Silicon Valley se délite. Inégalités folles, stagnation de la productivité, instabilité …
Pathétique, un peu lourd et long... et à la fois très juste, très haletant. Une mise à nu sans honte, un décortiquage des sentiments amoureux et d'obsession dont je peux reconnaître l'essence. J'ai préféré les autres lectures d'Annie Ernaux, mais celui-ci vaut la peine, spécifiquement quand il fait écho à Passion Simple.
"Available in English for the first time, the latest astonishing, bestselling, and award-winning book by Annie Ernaux. The Years is …